Sur la pomme

Un léger hors-sujet aujourd'hui pour vous indiquer un début d'enquête sur la présence des ordinateurs Macintosh dans les films, sur le site eco89 : http://eco.rue89.com/2010/02/03/pourquoi-dans-les-films-tous-les-ordinateurs-sont-ils-des-apple-135564
Il s'agit d'un point que j'avais également remarqué. Cependant il me semble que le dossier est incomplet : 1) Dans 2012, dans mon souvenir, les ordinateurs sont des VAIO (Sony). 2) Je ne pense pas que celà soit de la "pub gratuite". J'avais déjà remarqué une publicité pour le Club Med dans un film, ils avaient été obligé de la payer a postériori (Le film en question est "Ce que veulent les femmes", avec Mel Gibson).

L'empire des 5

En ce moment je regarde un peu l'empire des 5, un dessin animé sur les civilisations disparues. Ca a un petit peu vieilli mais il y a certaines idées excellentes. Dans l'épisode 6, à 0h9min57s, des robots regardent un écran d'ordinateur sur lequel est censé être indiqué l'emplacement de l'Atlantide. Or cet écran est très curieux : à coté de l'inscription "koke 1941" il y a une étoile de David. Celà ne peut être une boussole ou une rose des vents. Si quelqu'un a une idée ... Encore une fois la scène est très rapide (moins de deux secondes).

Le flic de Beverly Hills 3 ...

Après la plante juive dans le flic de Beverly Hills 2, j'ai bien sûr enchaîné ce week-end sur le troisième épisode. Bingo, environ 20minutes après le début du film, alors qu'un flic vient de se faire descendre, un inspecteur dit en parlant du suspect principal : "Ce type est casher", sous-entendu que le type est clair et net (ce qui s'avèrera faux par la suite). Cette phrase me rappelle celle entendue dans Halloween 2 : une attachée de presse indiquait "Tout est casher, comme dirait ma mère", pour dire : tout est sous contrôle. Je n'ai rien trouvé dans le premier film.

Dans le flic de Beverly Hills 2 : une plante juive !

Dans le flic de Beverly Hills 2 de Tony Scott (frère de Ridley) au moment où Billy Roswood invite Axel Foley (Eddie Murphy) et Taggart chez lui. Il possède plein de plantes. Il en désigne une comme étant "le juif errant" (vers 0h30min0s). On croise aussi un Bernstein comme étant conseiller financier (mais comme nous l'avons dit, les noms ...).

X-Tro

Dans le film d'horreur plutôt correct malgré quelques défauts X-Tro, un mari revient auprès de sa femme, après avoir disparu pendant 3 ans. Celle-ci fréquente un autre homme. Alors que les deux hommes discutent de leurs emplois respectifs, l'amant dit au mari que ses affaires marchent plutôt bien, et précise : "Tu sais ce qu'on dit : sois anglais, penses en juif" (vers les 0h30min0s). Remarque quelque peu antisémite ou aveu ? L'hypothèse est ouverte ... La femme s'appelle Rachel, le mari Samuel, il y a une madame Goodman dans l'immeuble, au début du film il me semble que le père joue avec un enfant prénommé David, mais comme nous l'avons dit, les prénoms/noms ne sauraient être une preuve définitive.

Halloween 2 (2009)

Hier soir, j'ai regardé Halloween 2 version 2009, de Rob Zombie. Ce film est ce que l'on peut qualifier de ratage complet, j'ai été très déçu. Je ne suis pas fan du cinéma de Rob Zombie (Je préfère sa musique) j'ai trouvé celui-ci carrément mauvais, prévisible, très mal joué et le scénario bourré d'incohérences. Quelques très rares bons points : l'utilisation de la lumière (Quelques scènes magnifiques), l'idée du fantôme de la mère (Excellente idée ... dommage que vendredi 13 l'aie déjà utilisé plus ou moins), la bande son (notamment le thème final ralenti). Je tracerai un parallèle entre la carrière cinématographque de Zombie et celle de Tarentino : selon moi les premiers films étaient regardables (Reservoir dogs et La maison des mille morts), puis à chaque fois c'est de pire en pire, jusqu'à Boulevard de la mort et donc, ce Halloween 2. Le film n'est pas du tout construit. On dirait un enchainement de scènes les unes à la suite des autres. Alors que le tueur est probablement dans une maison avec deux filles, elles se séparent, je n'y croyais pas : Zombie nous a fait le coup du cliché le plus grotesque qui soit. Le coup du "c'est un rêve" fait 3 fois dans le film démontre une facilité scénaristique qui me laisse réellement sceptique quand à son utilisation. Dès le début, on se doute que l'actrice principale va s'identifier au tueur (son frère), avec ses pilules et ses visites chez la psy ... Celà dit on retiendra pour notre blog qu'à 0h26min57s, une attachée de presse anonce : "Tout est casher, comme dirait ma mère".

Sur la Menorah / Hannoukia

Un peu de culture juive, afin de savoir découvrir les mots et idées derrière les symboles. En 2009, comme en 2008, la menorah nationale (qui en fait n'est pas une menorah...) aux USA a été installée sur la pelouse de la maison blanche comme le montrent les photos ci-dessous (Tirées de http://jewishbreakingnews.wordpress.com/2008/12/22/

Nous constatons que cette menorah possède neuf branches. Or sur wikipedia, on peut lire que la menorah possède sept branches. En fait, la menorah possède bien sept branches, et le chandelier utilisé pour Hannoucca est une hannoukia, à neuf branches. Cette fête dure 8 jours. A cette occasion, les juifs ont refusé l'héllenisation et répandent de la lumière dans nos villes : on les voit souvent avec des voitures portant une hannoukia géante, diffusant de la musique. Surveillez donc, dans les films, les deux "options" : menorah (comme dans labyrinthe par exemple) ou hannoukia.

Labyrinthe

Labyrinthe est un film pornographique d’Alain Payet (Autre pseudonyme de John Love, décédé en 2007). Alors qu’une actrice (Jouée par Silvia Saint) couche avec son amant, le mari arrive. Elle place alors son amant dans le placard (Notez l'originalité ...). Lors de cette scène, on distingue une ménorah en arrière plan. Nous n’avons pas le compteur exact, n'ayant pu "visualiser" que la scène. Selon wikipedia, Alain Payet est également celui qui a lancé la carrière de Désiré Bastareau, le nain africain que l'on a revu plus tard dans la sérié "le miel et les abeilles". C'est également un réalisateur de films de ... nazisploitation ! Bref un touche à tout au parcours cinématographique vraiment hors normes. Cliquez sur l'image pour agrandir. C'est typiquement un trésor : l'image ne doit durer que 2s, en arrière-plan, alors que pour ce genre de films on est en général plutôt intéréssé par le premier plan ;-)

Petit truc aux lecteurs

Cher lecteur, tu rêves, toi aussi, de découvrir les mots derrière les mots, les symboles derrière les images ? Voici une piste pour t'aiguiller : les acteurs. Certains acteurs, eux mêmes juifs, jouent souvent des personnages anonçant leur judaïté rapidement au sein d'un dialogue, d'une image. Si vous regardez un film avec ceux-ci, soyez attentifs ! Voici ceux que nous avons repéré.

- La palme revient de très loin à Ben Stiller : Au moins 5 films à son palmarès (mon "beau-père et moi" 1 et 2, Un duplex pour trois, Les femmes de ses rêves, Polly & moi). Nous n'avons rien remarqué dans les films "La nuit au musée". Si quelqu'un a vu avec lui le film "Envy" (Réalisé par Barry Levinson), il est très probable qu'il y aie un symbole ou une phrase judaïque.
- Adam Sandler : Au moins 2 films à son palmarès (Click, Rien que pour vos cheveux)

En France, surveillez les films avec :

- Vincent Elbaz : Au moins 2 films (Enfants de Salaud, La vérité si je mens)
- Gad Elmaleh : Egalement 2 films (Coco, La vérité si je mens)

Ce sont donc majoritairement des comédies, mais tous les films (notre blog commence à le montrer) peuvent contenir un trésor caché. A noter également, dans deux films pornographiques (Labyrinthe et un film de private), nous avons remarqué une menorah dans le décor.

Enfants de salaud

Comédie de Tonie Marshall. Cinq enfants de mères différentes (deux frères et trois sœurs), qui ne se connaissent pas, sont réunis autour de leur père qui vient de commettre un crime. L’un d’entre eux est présenté comme un catholique. Il est très machiste et compare les femmes à des recettes de cuisine. Il frappera même une de ses sœurs (qui ne bronchera pas) pendant le film. Les deux frères coucheront avec deux sœurs en en ayant pleine conscience. A 47min40s, alors que le frère catholique part à l’église, un ami, meccano (joué par Vincent Elbaz, dont le nom est à consonance judaïque), parle à une sœur de la religion et lui dit : « j’y comprends, moi je suis juif. Les juifs ça n’a rien à voir avec la religion. D’ailleurs, quand quelqu’un se dit juif, c’est qu’il l’est, puisqu’on peut pas prouver le contraire ». Quelques minutes plus loin, il confirme en disant (0h57min30s) « moi j’suis pas religieux ». Il le confirme une troisième fois pour ceux qui n’auraient pas compris. Alors qu’un client vient chercher sa voiture à 1h30min10s, il lui indique : « Il est parti en Allemagne. Et par égard pour ma famille, je foutrai pas les pieds dans ce pays. Dans ma famille, on n’achète pas de bagnoles allemandes. Pas d’italiennes, pas de japonaises et alors surtout pas de françaises. On achète volvo (Note : suédois). Primo c’est des bonnes bagnoles, et deuxio ces gens ils se sont comportés correctement  ». Cette scène est totalement inutile au film.